Fort du succès de «Inventaire» (2007) et "Caféine" (2009), et ce malgré leur écart musical et artistique, Christophe Willem a récemment lancé « Prismophonic » (2011).
Cet album, résolument pop, fait à nouveau appel à l’interprète Zaho qui a signé la plupart des textes. On y découvre également l’auteur
compositeur Karen Poole (qui a notamment collaboré avec Kylie Minogue et Lily Allen), le groupe Freemasons incontour-
nable de la scène électro, Jeremy Wheatley, une pointure du mixage (Robbie Williams, Pet Shop Boys, Etienne Daho…) et d’anciens complices comme Olivier Schultheis ou Jean-Pierre Pilot.
Avec de nombreuses balades ("Si mes larmes tombent"), du funk ("Cool") et de l’électro ("Automatik"), cet opus signe l'accomplissement personnel de cet artiste "décomplexé".l'album de la maturité", il reste effectivement celui qui semble le mieux le représenter. Rien de tel, donc, que de découvrir sa mise en scène pour découvrir Christophe Willem comme vous ne l'avez jamais vu.